Après le cours j'avais décidé de rester un peu pour travailler sur les cours du lendemain. J'avais rencontré quelque collègue, mais aucune d'entre eux n'était réellement impliqué dans le "surnaturelle", personne sauf la nouvelle prof' d'histoire qui remplacer Alaric. Elle s'appelait Walker, je le sentais elle était différente. J'avais échangé quelque mots avec elle pour le moment, mais je savais qu'avec le temps nos routes devraient se croiser plus souvent en dehors des mures de ce lycée. Il faisait déjà nuit quand je quittais le lycée de Mystic Fall. J'étais assez content de ma journée. Je n'avais eu qu'un événement fâcheux, je ne sais d'ailleurs si je devais le qualifier de cette manière car au font, c'était de bonnes retrouvailles. En sortant je croisais le principal du lycée qui me questionné sur ma première impression. Il faisait ça surtout car j'ai eu un Pulitzer il y a quelques années de ça. Avoir un professeur avec un tel pédigrée plaisait aux parents d'élève et cela faisait surtout une bonne réputation national pour l'établissement. Je lui répondais que comme à mon habitude j'avais remarqué que la littérature plaisait plus au jeunes fille qu'au jeunes hommes. Rien, d'étonnant en cela si ce n'est justement le fait qu'on retrouve plus d'hommes écrivains que de femmes. ces jeunes donzelles auraient-elles trop lu Roméo et Juliette ? Il rigola de ma blague et me laissa partir.

Je grimpais dans ma voiture afin de rejoindre le plus vite possible mon domicile. J'avais une envie d'une bonne douche brûlante et de me mettre comme un vieux dans son lit avec un bon livre. Je conduisais un peu vite mais je pus voir que sur ma route il y avait quelque chose de bizarre. Surtout, je le sentais. Je vis une voiture dont le moteur tourné encore garer sur le bas côté avec ses feux de routes. La porte du conducteur était ouverte. Ca sentais le vampire à des kilomètres à la ronde. Je me garais derrière cette voiture. En me garant mes feux c'était posé sur le fameux vampire. Je restais interloqué. Je sentis une colère monter en moi. Comment étais-ce possible ? J'avais déjà vu des enfants transformés, mais il avait toujours était un danger pour la société humaine ainsi que pour les vampires eux-même. Les enfants vampires n'arrivaient pas à se contrôler, où que très mal au début, c'était pire encore qu'un vampire nouveau né. C'était des bébés vampires nouveaux-nés. Je sortais de ma voiture et me dirigeais vers elle. Peut-être n'avait elle pas encore tué l'homme, et s'il était mort depuis moins que 5 minutes il avait encore une chance avec moi. Je me rapprochais de la fillette et la souleva en la prenant sous les bras la posant sur le côté. Je soupirais :

"Aller... Pousse-toi princesse, que je répare tes petites bêtises."

Je touchais le pouls de l'homme, son cœur palpité encore un peu, il restait quelques gouttes de sangs dans ses veines, trois fois rien. Je soupirais de nouveau, combien de fois avais-je du réparer l'erreur d'un vampire ? Là cependant, c'était différent il est vrai. J'aidais une pauvre enfant qui je le sentais, n'avait jamais demander à devenir un bête assoiffée de sang. Je poser ma main sur la blessure. Je savais que mes yeux céruléens allaient changer de couleur, devenir translucides et blanc, j'espérais que cela n'effraie pas la petite. Elle semblait être encore choquée de sa transformation. L'homme se réveilla paniqué et en criant. En voyant la petite fille il cria comme une fillette. Je lui attrapais le bras et le regardais dans les yeux et effacée ça mémoires, lui racontait une histoire à dormir debout et le replaçait dans sa voiture pour qu'il parte. Alors que l'homme s'exécutait sans rien dire, je posais mes yeux encore plein de ma magie sur elle. Ils étaient toujours translucides je pouvais le sentir. Je passais une main sur mon visage puis je m'accroupis devant elle et la regardais avec un léger sourire :

"Comment tu t'appelles petit vampire ? Est ce que tu as encore soif ?"

J'avais l'impression de parler à Jeanne, la même chevelure blonde, les mêmes yeux bleus, une enfant qui vivait dans un monde surnaturelle, la bouche en sang en moins.