Kayla Andy Blackwell

Sujet: Kayla Andy Blackwell Mer 1 Aoû - 16:05

KAYLA ANDY BLACKWELL

Informations Générales

Nom :: Blackwell
Prénom :: Kayla Andy
Surnom :: Kaly
Âge :: 18 ans depuis longtemps, elle a tout juste 1000 ans ( Plus jeune que la famille originelle, Tatia et encore Blake et Jake )
Genre :: Fille
Ville de naissance :: Bulgarie
Ville habitée :: Nomade
Race :: Vampire
Orientation sexuelle :: Hétérosexuel

Informations Physiques & Psychologiques

Description physique :: La vampire est très jolie et fait tourner bien des têtes. Elle n'est pas du genre à se pavaner et ne l'a jamais été, plutôt du genre timide. Kayla est assez grande, plus que la moyenne féminine et a un poids proportionnel. Ses traits sont fins et délicats mais ils cachent une grande force. Elle a de magnifiques cheveux longs d'une couleur châtain clair ainsi que des yeux noisette. Kaly a le sourire facile et sa compassion transparait facilement. Elle n'a jamais cru bon de la cacher jusqu'à maintenant. Son style vestimentaire est bien obligé de suivre les époques mais elle ne se dénude pas comme les catins non plus.
Description psychologique :: Kaly est une catholique depuis des centaines d'années. Elle croit en l'amour véritable ou du moins elle croyait. Elle voulait un mari, des enfants et une vie heureuse. Elle a un énorme grand coeur et ne veut qu'aider les autres. Elle a toujours été d'une gentillesse hors-pair et même en étant un vampire elle n'est pas des plus violentes. Elle est du genre timide et tranquille. Elle ne cherche pas la chicane et est dévoué à son travail qu'elle pratique depuis des centaines d'années pour sauver des gens. Kaly prie tous les jours afin de racheter le pardon d'être ce qu'elle est et de se nourrir de l'essence vital des humains.
Signes Particuliers :: Kaly est catholique et à cheval sur les principes. Elle croyait autrefois en l'amour mais plus maintenant. Elle s'est toujours réservé pour son grand amour mais maintenant ça n'a plus d'importance. Jake l'a transformée mais elle ne sait pas que c'est lui qui l'a recueillis alors qu'elle était gamine.
Loisirs et Hobbys :: Elle passe sa vie ou presque à l'hôpital. Elle travail autant que cela parait normal, elle ne fait que des shift de nuit puisqu'elle n'a pas de bague Lapis-Lazulli.
Peurs et Phobies :: Elle n'aime pas le feu et bien qu'elle se dit le contraire, elle a une peur bleu d'être seule pour l'éternité, de n'être acceptée de personne et encore moins Dieu.
Aspirations :: Elle aurait adoré avoir un mari, des enfants, vivre une vie heureuse ... Son rêve d'humaine.
Points forts et Points faibles :: Son âge fait sa force, sa foi est inébranlable malgré les épreuves. Sa plus grande faiblesse est son humanité.
Pouvoirs :: Elle est vieille et donc puissante. Sa puissance n'a rien à voir avec les originaux mais tout de même. Elle ne boit que du sang humain.

Informations Historiques

Histoire :: Je suis née il y a très longtemps, trop longtemps à mon goût. Je faisais partie d'une famille moyenne, les Petrova. Je dis moyenne en terme de quantité, puisqu'il en avait un bon nombre. Ma famille décida de demeurer en Bulgarie alors que certains membres de notre famille quittèrent le pays. Je me rappelle avoir grandit dans une belle famille avec des parents aimant. L'éducation qu'ils me donnèrent était exemplaire, j'étais leur fierté, étant leur fille unique. À cette âge je n'en avais pas conscience mais maintenant si. Je crois important de préciser que ma mère était une cousine Petrova, famille très connue par ces temps en Bulgarie. Je vois aujourd'hui que la réputation de ma famille a été salit et ça me déplore, comment cela est-il arrivé ?

À l'âge de 8 ans, un drame se produisit. Mes parents m'ont toujours poussé sur la voix de dieu et de la création mais était-ce simplement pour me préserver ? Je le crois oui et ils ont bien fait. Alors que je n'étais qu'une enfant, je vis mes parents amené par un groupe d'une grande influence dans le pays. Cette journée là, je jouais tranquillement chez les voisins. Je ne me rappelle plus très bien pourquoi mais nous nous retrouvâmes alors à assister à le plus horrible des carnages. Mes parents et d'autres attachés à des piliers de bois. Ils avaient tous fait quelque chose de terrible et je pouvais entendre les gens autour de moi murmurer le mot "sorciers". Je ne comprenais pas, mes parents croyaient en dieu non ? Le feu prit de l'ampleur suite au discours et je plongeait mes yeux dans ceux de mes parents pour la dernière fois, pleurant. Pourquoi me laissaient-ils seuls ? Celle qui me tenait dans ses bras fit l'erreur de me relâcher parterre et je pris donc la fuite vers chez moi, où aurais-je pu aller d'autre ? J'avais huit ans, j'étais debout au milieu de la maison et j'observais sans cesse la porte grande ouverte. Je voulais qu'ils reviennent, j'avais encore besoin d'eux, je voulais mes parents. Je ne comprenais pas très bien ce qui s'était passé mais plus les heures passaient, plus je me demandais s'ils reviendraient. Du haut de mes huit ans, je me mis donc à chantonner une prière, celle que ma mère me récitait pour me calmer lorsque j'étais peinée ...

Un homme finit par franchir la porte plusieurs heures plus tard. Je fixais toujours cette porte et ne cilla même pas lorsqu'il vint se poser devant moi. Je ne voyais que le vide, je me trouvais dans un énorme fossé sans pouvoir m'en sortir. Je sentit une pression autour de mes jambes puis dans mon dos. On me soulevait délicatement. Je demeurais aussi silencieuse qu'une tombe, je n'avais qu'une envie, pleurer en appelant ma mère, mon père. Ils m'avaient toujours dit que les pleurs n'arrangeaient rien mais que ça soulageait. Je voulais arranger les choses et non pas me soulager, je ne pleurai donc pas. Je me laissais bercer par les pas de celui qui me tenait dans ses bras. Lui non plus ne parlait pas, il regardait tout droit devant en continuant de marcher. Je ne savais pas où j'allais mais j'avais bien d'autre question en tête. J'ai finis par tourner la tête vers lui lentement mais sûrement. Je remarquai que ses habits étaient vraiment étrange. Il portait ce masque qui m'empêchait de voir son visage. Lorsqu'il tourna la tête vers moi, je détournai la mienne en poussant un soupir tremblant. L'assurance qu'il avait en me tenant suffisait à me rassurer, je n'avais pas peur de lui, j'avais peur de demain.

Cet homme se trouva être des plus mystérieux. Il m'accueilli chez lui en me présentant à des servantes et me disant de me tenir tranquille. J'avais tant de question à lui poser mais je n'avais pas envie de l'interrompre ou de le déranger. Pendant des années, je demeura donc dans cette grande demeure où les dames m'éduquèrent comme une lady. Je me sentais comme une princesse mais je n'avais rien de tel. Je me tenais tranquille, polie et j'aidais même ces dames pour les tâches domestiques. Elles voulurent bien m'attacher à une chaise je leur assurèrent que je ne serais pas dans leurs pattes. J'aimais aider, me rendre utile et les rendre fière de moi. L'homme qui m'avait recueillit lui ne se montrait pas beaucoup présent. Je ne savais pas grand chose de lui et je me dis avec l'âge que le bon moment se présenterait.

Cependant, il quitta la villa pour ne jamais y remettre les pieds ...

Je fis des plus tristes, on m'abandonnait encore pour aucune raison. Je demeurai longtemps en peine, près d'un an. Avais-je fais quelque chose de mal ? Je priais avec les dames puisque c'était la seule qui me permettait de me sentir mieux, d'oublier. Elles m'assurèrent qu'il reviendrait après avoir régler ce pépin avec sa famille. N'étais-je pas assez importante pour être de sa famille également ? Avec cet espoir, je demeurai donc à la villa avec ces dames pour me tenir compagnie. À l'âge de 17 ans je me portai volontaire pour travailler près de dieu, pour me racheter des quelconques péchés que j'avais pu commettre dans mes autres vies. Je donnai donc presque tout mon temps à l'église du village en rendant les femmes qui m'avaient élevés très fières de moi. Cependant tout n'est pas toujours rose et même les plus ferventes prières ne peuvent sauver l'âme la plus charitable ... Pourquoi Dieu n'a-t-il pas empêcher ses brigands de pénétrer dans la demeure ? En pleine nuit, j'entendis des cris et je me levai en sursaut. Était-ce Adélaïde ? Ou encore Betty ? Vêtue d'une simple robe de nuit blanche, j'ouvris la porte et entendis à nouveau ce cris. Mon coeur se serra dans ma poitrine. J'avais beau avoir 18 ans, je n'étais pas si courageuse. Je descendis sur la pointe des pieds les escaliers et lorsque je vis Adélaïde étendue sur le sol je les dévalèrent en me précipitant vers elle. J'avais les yeux grands ouverts, j'étais apeurés. Qui pouvait en vouloir à ces dames si gentilles ? Elle était déjà morte même si elle était chaude. Ma tête se tourna vers la cuisine où j'entendis un bruit distinct. La voix de Betty les suppliant. J'approchai du seuil et la vie tomber sur le sol. Je me cachai derrière la porte en fermant les yeux et mettant ma main devant ma bouche. Que pouvais-je faire ? Je ne pouvait plus rien pour mes dames, mis à part prier, je devais penser à me sauver. Reprenant mes esprits, je me dirigeais vers la porte du jardin puis une fois le pied sur la dalle froide, je me mis à courir mais mes pas se figèrent d'un seul coup. Mon coeur se serra alors qu'une grande douleur me transperçait. Déglutissant difficilement, je me retournai pour fixer l'homme qui m'avait tiré dans le dos. Il tenait un pistolet que je n'avais jamais vu encore. Je le fixais un moment puis lorsqu'il quitta la demeure je me renversai sur le dos avec le souffle coupé. J'avais de la difficulté à respirer et la douleur m'engourdissait drôlement. Les yeux rivés sur la lune, j'appelai doucement Betty et Adélaïde sans avoir de réponse. Je restai allongée pendant un bon moment puis je m'évanouis après quelques minutes.

J'entendais une voix au loin, je n'étais pas en mesure de dire qui s'était mais je pouvais l'entendre. Lorsque je pu ouvrir les yeux, je regardai un homme qui avait les mains pleines de sang et un air inquiet. Qui était-ce ? Était-ce un ange ? Je ne me trouvai plus dans les jardins., j'étais étendue sur la table de la cuisine. J'avais toujours aussi mal et j'avais les idées embrouillées. Je voulus me relever mais il m'ordonna de demeurer immobile. J'avais alors tourné la tête vers lui, suppliant :

- Sauvez-les, Betty et Adélaïde, elles en ont plus besoin que moi, s'il-vous-plait, vous êtes médecin ? Sauvez-les pour l'amour de dieu !

J'avais un trou béant dans la poitrine et je me préoccupais plus des dames que de moi-même. Oui j'avais mal mais elles souffraient plus que moi. L'homme à mes côtés m'expliqua qu'il n'avait pu rien faire pour elles. Je le fixait, les larmes aux yeux. Comment tout cela avait-il commencé déjà ? Je ne le connaissais pas mais je savais qu'il était médecin. Il me fit boire un drôle de cocktail goûtant drôlement le fer, le sang en me disant que je me sentirait mieux. J'avais les idées un peu flous et je ne remarqua même pas qu'il me faisait boire à même son propre poignet. Je me sentis mieux dans les minutes suivantes, sans pouvoir l'expliquer. Il me laissa me lever debout puis je lui tournai le dos pour aller voir Betty à l'autre bout. Avant que je ne puisse faire un seul pas, je vis noir et je m'écroulai dans ses bras. Il venait de me tordre le cou. Il venait de me tuer pour me préserver des autres dangers de la vie. Il me voulait saine et sauve et j'étais maintenant étendue dans mon lit avec des vêtements propres. Lorsque je me réveillai, j'étais seule et j'avais mal à la tête. Tout semblait flou dans ma tête mais les idées me vinrent bien rapidement lorsque je descendis les marches à grands pas. Tout avait été nettoyé et la maison grouillait de gens que je ne connaissais pas. La gorge se mit à me piquer et quelqu'un m'aggripa le bras pour m'amener dans autrefois, le bureau de l'homme des lieux. La jeune femme m'expliqua ce qui m'étais arrivée et ce que maintenant j'étais. J'étais abasourdis, elle était folle. Elle me présenta une jeune femme qui dit que je devais m'en nourrir ou sinon j'allais mourir. En me levant, je lui lançais :

- Pardonnez mon impolitesse, mais je ne vous connais pas et je pense sérieusement que vous êtes sur le mauvais chemin. Dieu vous pardonneras si vous avouez vos fautes, il est clair que vous n'avez pas toute votre!..

Je me mis à fixer la gorge de cette petite qui attendait debout devant moi alors que l'autre me pressait à le faire. Je regardais cette peau qui semblait abriter milles merveilles. Sans savoir pourquoi, je m'approchai d'elle et colla ma bouche contre sa peau, sentant le sang envahir mon organisme alors que j'aspirais de plus en plus fort sans me contrôler, sans savoir ce qui m'arrivait. Ce n'était qu'un cauchemars, j'allais me réveiller et voir Betty et Adélaïde et peut-être même lui ! Rien de tout ça ne vint dans les jours qui suivirent. Uniquement le sang et encore le sang. On me forçait à en boire en me disant que c'était ma nouvelle nature, que c'était ce que j'étais. Ces gens étaient informés sur le sujet, l'une d'entre eux était comme moi, un vampire. Elle m'apprit mes forces et mes faiblesses sans parler de mon nouveau mode de vie. Je demeurai donc des années avec cette personne, dans cet endroit avant de me décider à partir, quelques centaines d'années après ...

Malgré ma nature désobligeante et démoniaque, je su faire le bien autour de moi. J'appris à me contrôler et à savoir quand m'arrêter. J'étais suffisamment lucide quand je buvais du sang humain que je m'arrêtai avant le temps et guérissais même la personne avec mon propre sang. Je ne voulais tuer personne, je devais me racheter auprès de Dieu qui devait me détester maintenant. J'avais du chemin à faire, beaucoup à faire.

À travers les âges, avec la conviction de vouloir faire le bien, je devins médecin à domicile pour commencer puis dans les établissements. Le monde évoluait tellement vite que je devais m'adapter. Je ne pouvais rester trop longtemps au même endroit mais j'aidais les gens. J'avais l'éternité pour me racheter et quand je jugerai que mon temps est venu, je m'en irai. Je ne peux pas attendre d'être envahis par le mal que je tente de repousser depuis bon nombre d'années, des centaines d'années. Je suis très bien comme je suis.

Je me suis dirigé vers la ville de Mystic Falls quand j'ai entendu parlé de ce vampire qui ravage tout sur son passage. S'il y a une chose de sûr, c'est que je ne laisserai pas faire tout ça ! Je me dois de l'arrêter, de lui faire entendre raison. Préserver la vie des innocents et éviter les carnages. J'ai donc demandé mon transfert à Mystic Falls afin de régler ce petit problème moi-même ..

Métier :: Médecin

Informations Relationnelles

Parents :: Ils sont tous les deux morts sur le bûcher. Ma mère était une cousine des Petrova.
Frères / Soeurs :: J'étais enfant unique
Ami(e)s :: Je suis le démon, une peste, Je fais le bien mais je ne veux pas faire de mal à personne. Je n'ai personne.

Informations Joueur

Prénom :: Tiffany
Âge :: 22 ans
Région :: Canada
Expérience RP :: 9 ans
Comment as-tu connu le forum :: Je suis Elena
Présence ::
Personnalité sur l'avatar :: Shelley Hennig

Code Règlement :: Validé par Jake ♥

(c) Never-Utopia

+50 MORSURES by ELENA